Présentation

La notion d'unité est la clef de la compréhension du monde énergétique.
La compréhension de cette notion d'unité au niveau du corps humain va être une des clefs de la réussite de nos traitements bioénergétiques. C'est cette notion qui va faire la principale différence entre les soins de médecine classique dite allopathique et les médecines alternatives dites holistiques (homéopathie, ostéopathie, médecine chinoise traditionnelle, médecine ayurvédique, bioénergétique, etc.).
Le principe de la médecine allopathique est de combattre la maladie en utilisant des traitements qui ont un effet opposé aux phénomènes pathologiques.
C'est le plus fréquemment la médecine des antis.
Si vous êtes déprimé votre médecin va vous prescrire un antidépresseur, un antiacide si vous avez des reflux gastriques acides, un antidouleur (antalgique) si vous avez mal, antihistaminique pour les allergies, antibiotique pour les infections, antiviral, antitussif, anti inflammatoire, antispasmodique, etc.
L'allopathie s'intéresse essentiellement à la partie du corps qui est en souffrance. C'est de cette façon que sont apparues toutes les spécialisations de la médecine classique.
Le principe des médecines holistiques est de considérer le corps comme un tout et de soigner celui-ci dans sa globalité (physique, psychique et spirituelle) afin de faire disparaître la symptomatologie.
Dans ces médecines, le symptôme correspond au voyant rouge qui s'allume sur le tableau de bord de votre voiture pour nous signaler qu'il y a quelque chose qui ne fonctionne pas bien.
En rétablissant le bon fonctionnement du corps le symptôme disparait.
Il est important de comprendre que ces deux approches ne s'opposent pas mais se complètent et s'enrichissent mutuellement.
La médecine classique est plutôt indiquée dans le cadre des pathologies organiques et les médecines holistiques s'adressent plutôt aux pathologies dites fonctionnelles (ceci est une tendance et pas un absolu).
Dans les pathologies organiques nous retrouvons une altération de l'organe ou de la structure atteinte, nous parlerons alors de lésions organiques comme par exemple un ulcère d'estomac, une tumeur, une fracture, etc.… Nous pouvons objectiver ces lésions organiques par les examens médicaux classiques comme l'endoscopie, l'imagerie médicale (radios, scanner, IRM, etc.).
Dans les pathologies fonctionnelles, nous ne pouvons pas mettre en évidence de lésions organiques et pourtant nous pouvons constater des douleurs et une gêne fonctionnelle comme des troubles digestifs, nausées, ballonnement, constipation, maux de tête, douleurs articulaires, musculaires, tendineuses, etc. Dans ces pathologies c'est la fonction qui est touchée et non la structure.
La plupart de nos maux du quotidien sont des pathologies fonctionnelles. Quand celles-ci durent dans le temps elles peuvent devenir organiques (par exemple une dysfonction articulaire si elle n'est pas traitée va évoluer en arthrose qui est une dégradation du cartilage, une altération de la structure)
Ainsi, nous retrouverons souvent un peu des deux, les pathologies ont souvent une composante organique et une composante fonctionnelle.
La médecine classique est en général une médecine d'urgence qui vise à soulager rapidement, mais elle ne traite pas le fond du problème d'où l'idée d'associer les deux.
Les médecines fonctionnelles sont plutôt des approches de terrain, mais elles donnent aussi des résultats particulièrement intéressants sur les pathologies organiques.
Nous pouvons observer par exemple de très bons résultats sur les ulcères d'estomac. Dans les cas de lésions dégénératives arthrosiques la libération de la dysfonction articulaire permet de faire disparaitre les douleurs à condition de ne pas être sur un stade très évolué où il n'y a plus de cartilage. Souvent, nous pouvons constater la disparition de kystes synoviaux, de hernies discales entrainant des sciatiques, de verrues, etc.

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